jeudi 18 décembre 2014

POLYNESIE FRANCAISE - ÎLE DE MOOREA


Lundi 23 décembre 2013
Nous partons à Papeete pour embarquer le bateau direction Mooréa avec une petite visite du centre ville pour Papi et Mamie (le marché local, la mairie…). Comme nous sommes 7, corinne et Alice font du stop pour se rejoindre Papeete à 15kms (le bus étant proche du néant sur l’échelle de la fiabilité). Après une traversée calme, nous prenons le bus local pour arriver à notre Faré pour 2 semaines et demi. Le rêve, je vous laisse avec les photos pour contempler notre vue, notre plage, les requins, les raies…

Mardi 24 décembre 2013
La journée sera dédiée au préparatif de Noël avec les moyens du bord. Agathe s'improvisera maîtresse de cérémonie pour animer le dîner. Les grands-parents sont aux anges.
Nous poursuivrons en deuxième partie de soirée au Tiki Village où nous assistons à un superbe spectacle de danses traditionnelles, suivi de tableaux sur la nativité.

Mercredi 25 au jeudi 9 janvier 2014
Attention, nous rentrons dans un rythme proche du 2 de tension…
Matin 8H : petit dej gargantuesque
Matin + : plage, masque, tubas, canoë voire jet ski que laurent, le patron propose aux enfants ; faire un petit coucou aux raies et aux requins en jet ski le matin entre 2 séances d’anglais (pas mal Agathe non ?)
Matin ++ : devoirs ou pas
Déjeuner (entre 13H30 et 16H) avec apéro
Après-midi : sieste (si, si.. on peut même à 16H)
Fin d’après midi : canoës
18H : couché de soleil avec apéro
19H : diner ou pas en fonction de la demande des ventres (tout dépend de l’effort fait en dehors des 3 mètres pour rejoindre le lagon)
21H : extinction des feux
Les autres entorses à notre quotidien bien huilé aussi bien que notre corps par ce soleil… : - --- lagoonarium : réserve de poissons, raies et requins
- Belvédère pour admirer les 2 baies, visite d’une production d’ananas avec dégustation….

POLYNÉSIE FRANÇAISE - ÎLE DE TAHITI

Mardi 17 décembre 2013
2 heures du mat, Nous arrivons à Papeete. Un taxi nous attend et nous conduit à la pension de la plage à 15kms de la capitale ! On ressent bien la chaleur et l’humidité. A 100m de la plage, nous avons également la piscine qui nous sera très agréable avant d’aller se coucher.
La journée du mardi est tranquille, courses (ouah les prix !), piscine et plage en fin de journée. 1 ère plongée dans le lagon où nous découvrons les poissons bleus, jaune, noir zébrés…
Nous rentrons pour nous coucher à 21H ; ici la journée commence très tôt vers 6H pour se terminer vers 20H.

Mercredi 18 décembre 2013
Après 1 semaine d’interruption de devoir (je pense que l’effet « Iles » y fait pour beaucoup), nous reprenons 2H30 de cours avant d’aller faire le musée de la poynésie qui va nous permettre de nous immerger pas uniquement dans le lagon mais aussi dans la culture tahitienne. Nous partageons ce moment avec Francette de Saint Malo 67 ans qui voyage seule dans les iles pendant 3 mois. Depuis 2 semaines, nous sommes ravis de nous habiller de la même façon  le matin à 6H jusqu’au soir (short, tee-shirt avec le maillot de bain jamais loin).  

Jeudi 19 décembre 2013
Nous partons visiter Papeete après le petit dej en compagnie de Francette. Le réseau bus étant complètement aléatoire, Alice et sa maman décident de faire du stop. Bingo, 1 mn après, un monsieur nous prend à 7 pour nous amener au centre de papeete. Ancien militaire, il a monté son magasin de vêtements pour enfant en parti avec des habits made in Tahiti.Après avoir fait le marché, visiter la très belle mairie et l’église, nous prenons les billets du bateau pour Mooréa lundi prochain. Nous revenons pour nous baigner où le sport favori reprend masque tuba ou snorkelling. Stéphane fait une rencontre sous haute tension, un requin à moins de 10 m ! Dans le lagon, il se met sur une patate pour observer les fonds et voit un aileron passer. Se trouvant à 700 mètre de la plage età 50 m de la barrière de corail, il décide de revenir même si tout le monde dit qu’ils sont inoffensifs… bof bof . Mais la 1èrefois dans une vie ça compte et l’émotion était forte. Le soir, nous buvons un verre avec Francette qui fête son anniversaire loin des siens. Agathe lui offre un bracelet de sa fabrication ; elle est très touchée

Vendredi 20 décembre 2013
Journée piscine-devoir-piscine-devoir-mer-piscine-douche-dodo
Rien à signaler excepté que les enfants s’impatientent de voir arriver leurs grands parents, les préparatifs sont là avec cadeau-dessins…

Samedi 21 décembre 2013
Après les devoirs, nous louons une voiture et partons voir les 3 cascades et le trou du souffleur. Nous revenons par la plage de Venus : sable noir , plus de monde que dhabitude sur cette plage car c’est le week-end. Les enfants arrivent à se faire prêter un booggy pour essayer. Agathe rêve d’une planche à Noël ! Nous revenons à 19H du soir fatigué.

Dimanche 22 décembre 2013
Le réveil est à 6H30 comme tous les matins avec l’impatience pour les enfants de voir papi et mamie le soir qui doivent arriver à 22H mais...
Nous partons au jardin botanique pour apprécier la végétation luxuriante de l’Ile ; une promenade magnifique qui commence par l’accueil de 2 tortues terrestres des Iles Galapagos dont 1 de 1928. Nous poursuivons l’après-midi sur la plage où un ponton permet de faire des sauts, des plongeons et même des saltos pour papa qui lui rappelle sa jeunesse. Moment de partage avec des tahitiens sur leur culture de la mer.

Nous revenons tôt pour préparer l’arrivée de papi mami prévue à 22H. Les enfants préparent des couronnes à fleurs. Nous partons avec Agathe à l’aéroport à 21H après avoir bien vérifié que le vol était à l’heure sur internet. Arrivée à l’aéroport, bingo ! le vol a eu un problème technique à Los Angeles (il a juste brulé et à tout stopper au bout de la piste de décollage…) et donc pointera le bout de son nez au crépuscule à 4H du mat, on ne sortira qu’1 et demi après leur arrivée car la compagnie a aussi égaré une valise (tout va bien, tout le monde est heureux de se retrouver, Agathe s’est même relevé à 3H30 pour repartir à l’aéroport).

mardi 16 décembre 2014

CHILI - VALPARAISO

Mercredi 4 décembre 2013
Agathe se rend compte qu’elle a perdu le devoir de math fait il y a 2 jours alors que son père ne l’a pas encore scanné !!! La colère et la tristesse passées, elle refait le devoir dans la foulée pour ne pas trainer cette déception... Un moment de tension avant d’aller se perdre dans les collines de Valparaiso au Cerro Allegre et Cerro ConceptionDominant le pacifique, chaque coin de rue est une découverte de fresques ou de maisons colorées. La température est douce contrairement à son ainé Santiago où il fait très chaud. Pablo Neruda qui vécu ici pouvait facilement trouver l’inspiration. 2ème Ville la plus importante du Chili  on nous met aussi en garde contre les vols à l’arraché dans certain quartier (appareil photo, portable…) car le pauvre est aussi pauvre que le riche est riche au Chili comme en Argentine. A titre d’exemple, le salaire mini de la classe moyenne comme il l’appelle ici est de 300000 §ch/mois et un appartement coûte en location le même prix, chercher l’erreur ! Nous sommes entre les 2 tours des élections présidentielles, ils sont prêts à voter à nouveau pourle même candidat qui a déjà été présidente le mandat d’avant et qui n’a pas fait avancer le chmilblic (comme chez nous du reste mais avec des problématiques différentes et une classe moyenne inexistante).

Jeudi 5 décembre 2013
Après avoir changé de chambre d’hôtes pour une avec vue sur le Pacifique car il y avait trop de bruit dans la rue, la journée est consacrée en grande partie à l’école avec en fin de journée, une petite promenade avec un petit shopping (alexandre achète la paire de lunette de ses rêves à sa grande sœur et dépense tout son argent de poche du mois (1000$ch soit 1,5€ !), coiffeur (5€ pour stéphane bon c’est vrai c’est de plus en plus rapide…). Nous n’allons pas nous coucher tard car demain cours de cuisine chilienne à façon Gonzalo chef cuisinier du Vinilio avec un zeste d’excentricité, un soupçon de folierevisitant les recettes du terroir avec un talent déconcertant. Va-t-il réussir à transformer les deux mains gauches de Stéphane ??
Le but de ce cours est d’être non seulement immerger dans la cuisine chilienne mais aussi de pouvoir refaire ses plats au quatre coins du monde car les ingrédients sont peu chers et faciles à trouver.

Vendredi 6 décembre 2013
Debout, mauvaise troupe, tous aux fourneaux chez Gonzalo !
Une fois de plus le charme d’Alice à opérer, le chef cuisinier nous rappelle que c’est pour elle qu’il a accepté de faire le cours.  
Dans une ambiance « vintage » (thème du resto), nous prenons possession de la cuisine, petite mais très chaleureuse où Gonzalo va nous dévoiler quelques uns de ses petits secrets culinaires comme ses mélanges de sels surprenant : sel à l’ail, au thé et le plus surprenant au cacao
Tout le monde met la main à la pâte. Ça tombe bien nous démarrons par un pain aux olives et à l’origan.10 mn de malaxage (2 mn chacun pour éviter les disputes !)
Dans la rubrique « plats typiques chiliens », nous commençons par une ceviché (saumon cru), suivi d’un pebré(tomate, jus de citron, coriandre, piment doux). Pour les classiques, enfin presque, puisque nous enchaînons sur une purée de pommes de terre façon Gonzalo…
Veuillez comprendre une purée de pommes de terre à l’orange et à la menthe. A cela vous rajoutez comme dessert un kurchen banane flambée sur un lit de chocolat garni de coco. Pour nous préparer à l’Asie et ses épices, un riz au lait. Bref après près de 3H30 de labeur, nous passons à table pour déguster nos merveilles : La purée fait l’unanimité, comme le Céviché et la kurchen…Un Chardonnay pour arroser le tout pour stéphane nous voilà arriver milieu d’après-midiPetite bronzette sur le mirador à côté de notre chambre d’hôtes excepté pour agathe qui a devoir de français dans la chambre avec vue imprenable sur le pacifique !
Pour couronner une journée rencontre, stéphane qui faisait les maths avec alex par terre au soleil est abordé certainement un des plus ancien de antonio un des doyens de Valparaiso poète, écrivain de 93 ans ; un riche et long échange ! bon pour le diner, personne n’ayant vraiment fin (même alice c’est pour dire..), agathe nous prépare un chocolat chaud maison.

Samedi 7 décembre  2013
Matinée de travail, on augmente la cadence car les enfants veulent profiter de leur Papi et Mami qui nous rejoignent en Polynésie pour 3  semaines (vous savez nos grandes vacances !) à Noël et Nouvel an et ne pas travailler ou 1h par jour grand max. De ce côté-là, tout va bien Agathe a des bonnes notes avec le Cned et a pris le rythme de travailler dans les moments creux (bus, train, …) en plus des 2 h tous les matins; pour alice et alex, ça prend vraiment forme même si leur imagination est infinie pour tenter l’école buissonnière. Dernière petite balade dans Valparaiso avec un déjeunede poisson près du port (Merlu saumon…). Nous sommes partagés entre la tristesse de quitter cet endroit qui avait l’avantage de nous offrir 2 chambres avec vue sur l’océan (chambre d’hôtes avec 4 chambres) ou retrouver la casa roja l’auberge de jeunesse avec 100 clients possible mais super convivial (le personnel a adopté les enfants car ça leur change de la génération Y internationale qui picole toute la soirée) le tout arrosé par la piscine.

CHILI - SANTIAGIO (bis)

Dimanche 8 décembre 2013
Nous partons donc retrouver notre auberge à Santiago. Agathe travaille dans le bus mais Alice et Zlex n’y sont pas, ils auornt don 1h de rattrapage le soire en même temps qu’Agathe doit faire son devoir d’Espagnol (bon c’est vrai là c’est facile après 4 mois passé en Amérique du Sud) elle discute facilement avec tout le monde. Nous faisons le musée Bella Arte de Santiago très agréable notamment une expo photo d’enfant qui a mobilisé 58000 élèves et 1000 professeurs pendant 5 ans dans tout le chili (colorarte) ; belle initiative !
Nous rentrons à l’auberge où l’heure de travail prévue est respectée avant d’aller se coucher.
Un dernier échange improbable avec le vigile d’un supermarché qui nous dit après avoir compris que nous étions français : Hollande ou Sarkozy ? en ajoutant, moi, c’est Sarkozy ! Qui aurait pensé que dans un quartier populaire, le vigile de la supérette allait nous aborder sur la politique intérieur de la France…

Lundi 9 décembre-Mardi 10 décembre 2013
Même programme pour les 2 jours : école le matin, piscine, lecture l’après-midi. Beaucoup d’ »change avec les occupants de l’auberge, 2 petits suisses, stéphane et magali qui traversent l’Amérique du Sud en vélo, 1 petite suisse que nous avions déjà rencontré à Valparaiso qui voyage seule (preuve que les petits suisses ne sont pas toujours par 2 J)
Bref, on fait nos sacs en début de soirée et on se couche car le levée est à 5h du mat, j’ai les frissons (euh non là ça va il fait chaud)

CHILI - SANTIAGO

Vendredi 29 novembre
Après un petit déj copieux fait par Maria, nous attaquons les devoirs avec alex sur la constitution européenne, alice sur les maths et la monnaie et agathe sur l’art plastique pour boucler la séquence 4 avec 3 jours de retard. On s’est levé à 9H30 donc on commence les devoirs à 11H pour finir à 14H30, un déjeuner au bord de la piscine avec bronzette et plouf. Nous arrivons à 18h30 à quitter le maillot de bain pour faire un petit tour du centre ville de Santiago Plaza de Armas. Le soir un BBQ est organisé par l’auberge que nous partageons avec nicolas et valentin, 2 jeunes français de 23 ans qui réalisent un tour du monde d’1 an avant de rentrer dans la machine à laver de la vie très active du jeune cadre dynamique. Baigné par le scoutisme depuis leurs plus jeunes âges, ces 2 jeunes sont très ouverts et encouragent les enfants à rejoindre la famille des scouts de France.

Samedi 30 novembre 2013
Tout les conditions semblent réunies pour se laisser aller à traîner dans le jardin de la casa Roja au bord de la piscine toute la journée. Objectif atteint en fin de journée, rien à signaler …    

Dimanche 1er décembre 2013
Nous partons à 10h en direction du Musée Interactif du Mirador (MIM). 4h de visite avec des ateliers comme le guidage d’un robot par ordinateur où l’on programme la trajectoire. C’est davantage une cité des sciences qu’un musée où les enfants se régalent à essayer toutes les activités qui font appel à la mémoire, motricité, réflexe, l’acuité visuelle et auditive…
Un bon moment que nous terminons en passant par le centre-ville pour trouver le rêve de la famille à l’approche des plages et de la piscine (les enfants ne supportent plus les sandales Decathlon ! «  c’est moche mais c’est confortable  » (le 1er des lecteurs qui trouve la référence cinématographique de cette phrase gagne une photo personnalisée !).

Lundi 2 décembre 2013
Une grande partie de la journée se passera autour de la piscine (air à 32°, piscine à 27° ; école à l’ombre le matin, déjeuner à 15h et bronzette jusqu’à 18h), c’est lundi, on reprend doucement la semaine…vivement les 5 semaines de congés-payé qu’on se repose à l’Isle de Pâques et en Polynésie !
Nous décollons en direction du centre ville mais très vite le groupe des filles pour le shopping et les gars en direction du Cerro Saint Cristobal pour une ascension sportive en 20mn au lieu 50mn ! Le funiculaire venait de fermer et le garde nous avait pourtant déconseillé de monter à cette heure là car les agressions arrivaient (à part des vtt, des coureurs sur le sentier, on a vu personne)
Le soir, nous attendons les Charlelipopettes qui reviennent de l’Isle de Pâques (ils sont allés au même camping que nous avions déjà réservé et ça semble génial !) : c’est la fête pour les enfants qui se retrouvent et les grands jusque tard dans la nuit…

Mardi 3 décembre
Le programme est le même que les autres jours sans les devoirs car il faut profiter de la piscine par cette journée à 34°. Le soir après les avoir quitté (également valentin et nicolas, 2 jeunes de 23 ans très sympa qui ont dit à stéphane qu’il aurait pu être un chef scout avec le prix d’excellence, nicolas et valentin étaient scout depuis tout petit). Ils prennent l’avion pour la Nouvelle Zélande à 23h. Pour notre part, nous partons le soir pour Valparaiso, 2h de bus sans clim ! Arrivée à 21h à « la  bicyclette » chez Gilles. Nous partons au restaurant et l’envie de prendre des cours de cuisine au Chili germe.

CHILI - LA GRAND ÎLE DE CHILOÉ

Lundi 25 novembre 2013
Réveil très difficile en ce premier jour de semaine. On sort, réussissant à s’extirper tant bien que mal de nos lits car ce matin l’ambiance est fraîche. Aujourd’hui nous partons pour la grande île de Chiloé mais nous ne savons pas à quelle heure est le bus. Stéphane part acheter les billets pendant que le reste de la troupe se dirige vers la douche pour finir de se réveiller. Nous remettons le petit déjeuner à plus tard car il se pourrait que nous partions pour 11 heures et il est déjà 10 heures. Bingo c’est confirmé ! On a juste à terminer les sacs qui semblent de plus en plus remplis et lourds, prendre un taxi qui hésite à deux fois mais fini par nous amener au terminal de bus. Après 3H de bus avec petit coup de ferry de 30 mn pour la traversée, nous arrivons à Ancud, ville sans grand intérêt excepté la porte d’entrée pour aller voir les manchots dans le parc Piňihuil Pingüineras. Mais tout cela à un prix, pas de voiture de location, personne capable de nous dire si le bus va bien au pieds de notre cabana réservée côté réserve. Bref le flou artistique ! Stéphane, après 3 tours de ville, finit par trouver une solution locale grâce à sa rencontre avec un commandant de la police à la retraite se prénommant Jaime. Gentiment, il propose sont aide et appelle un copain carabinero, qui fait aussi taxi, construit des cabanas sur son temps perdu en prévision de sa retraite ; un homme multicarte. Le prix est correct et nous négocions l’Aller retour pour le lendemain. Arrivée à la cabana, le rêve, nous atteignons celle-ci après 5mn de marche. Elle surplombe l’océan pacifique avec une terrasse ensoleillée; là on se dit que nous serions bien restés une semaine mais, comme des gens pressés, nous repartirons le lendemain et fixons l’horaire de départ à 16H avec Jorge le carabinero. Après avoir contemplé le couché de soleil du mirador privé, nous nous couchons à 21h !

Mardi 26 novembre
Après le pain chaud maison préparé par Andréa et un bon petit déjeuner englouti sous le soleil avec vue imprenable sur le Pacifique (les jours se suivent mais ne se ressemblent pas car la veille, nous l’avons pris à 11H au terminal de bus avec pain jambon pour tout le monde, ça fait petit dej, dej voire gouter !), nous partons pour l’observation de 3 communautés de manchots ; 7 dans le bateau parti d’une plage déserte, nous passons un moment agréable avec ces petits « maladroits » qui feront l’objet d’imitation d’Agathe et sa maman une bonne partie de la semaine ; en bonus, nous avons la visite d’un pélican, d’une loutre qui déguste un poulpe et une multitude d’oiseaux différents venant efflorer notre embarcation. Nous sommes vraiment dans un lieu complètement complétement dépourvu d'une espèce appelé « touristes » qui n’arrivons qu’en janvier avant que les manchots partent en mars après avoir fait leurs petits. 1h de travail avant l’excursion, il y aura aussi 1 h de travail après avec un dernier déjeuné sur la terrasse au soleil au-dessus des rochers et de la végétation luxuriante qui nous fait vraiment regretter de ne pas rester plus longtemps. Du coup, après avoir découvert que nous avions perdu 1 brosse, 2 paires de lunettes de soleil Alice et Alexandre et le coupe vent d’Alexandre, nous oublions le contenu du réfrigérateur qui pouvait nous faire encore 1 déj et 1 petit dej : je sais, ça semble dérisoire mais tout compte pour tenir un budget (Stéphane se charge de nous le rappeler avec son tableau Excel super top qui nous dit si nous pouvons aller au bout du voyage en temps réel ou si nous devons rentrer avant…) mais surtout avoir l’impression de ne pas gaspiller. Nous arrivons sur Castro le soir toujours sur l’île de Chiloé sans réservation d’hôtel…Pour la 3ème étape de suite, on suit un rabatteur qui veut nous montrer sa cabana et pour la 3èmeétape de suite ce n’est pas cher mais loin et toujours un lieu privilégié pour la dépression surtout si vous devez faire l’école aux enfants à cet endroit avec Alice qui beug, Alex qui rêve et Agathe qui râle…

Mercredi 27 novembre 2013
Nous avons une journée pour visiter Castro et ses alentours et découvrir les fameuses églises en bois. Dehors le temps semble se prêter à notre projet de visite mais le temps est plutôt à l’orage dès que nous laissons les enfants abordés l’école en autonomie. Rien n’est acquis ! Après avoir essuyé des turbulences, nous décollons enfin de l’hôtel à 14h et prenons un collectivo pour Vispallu. Le chauffeur nous laisse à 3kms sur la route et après 1 matinée de m… les enfants sont ravis de marcher sur un chemin en terre sans intérêt avec les quelques voitures qui nous dépassent avec son lot de poussière ; mais la chance est quand même avec nous car après que corinne ait oublié son porte monnaie et son téléphone sur son siège (heureusement agathe veille !), un bus ramenant les écoliers nous prend pour nous amener à l’église; comme de coutume pour visiter les églises sur Chiloé, il faut demander à la maison la plus proche la clé (un peu comme la chasse au trésor, du reste stéphane a un peu la coupe de cheveux de Sylvain Ogier le présentateur) ; après la 1èrevisitée, nous partons à la recherche de la 2ème sans indice mais par la plage pour rejoindre Chauchi ! Plus aboutie architecturellement que la précédente, nous terminons par celle de Castro qui est un bijou pour l’intérieur en bois massif d’une réelle finesse. Nous terminons la soirée au restaurant, le 1er de la liste du lonely planet qui comme déjà vu se termine par une salle de français qui avait les mêmes lectures que nous ! D’un autre côté, c’était bon et un prix correct pour 5 :30€ pour 5 avec entrée, saumon, super patisserie et verre de vin…

Jeudi 28 novembre
Départ à 9H pour 1 journée de transport multi-modal en commençant par le bus (en retard…génial quand on doit prendre un avion à 3h de là ! je sais certain vont dire mais pourquoi ils ne se sont pas rapprochés la veille… et patatitit et patata, ben porqué no ?-)), puis le ferry, de nouveau le bus (clandestin sans billets car booké et pas le temps de prendre celui d’après), l’avion et pour terminer le métro (biensûr nos jambes nous ont servis pour faire les transferts entre les moyens de transport, euh, on a toujours 80kgs avec nous…). Arrivée à Santiago dans hôtel piscine : Plouf, bonne nuit

CHILI - LES HUILLICHES

Samedi 23 novembre 2013
En préparant les visites à faire autour de Puerto Varas, notre curiosité s'est arrêtée sur un paragraphe de notre guide touristique portant sur l'ethnotourisme qui se développe autour des indiens Huilliches. Cette communauté appartient à la culture Mapuches. Ils vivent dans le sud du Chili. 
Quelques familles parsemées hors des sentiers battus de la région des lacs vous accueillent et vous immergent dans un mode de vie traditionnel reçu de leurs ancêtres. Le contact se fera par l'intermédiaire d'une agence.
Nous sommes récupérés au saut du lit par notre guide Mauricio. C'est parti pour deux jours rytmés. Direction la bourgade de Rio Negro entre Puerto Varas et Orsono, puis à quelques kilomètres de là, Rio Chuelo, son église et surtout l'école où des cours sont donnés de chesungun, (dialecte huilliches). Tout comme les mapuches, les huilliches ont été dépossédés de leur terre et de leurs richesses. Depuis le retour de la démocratie, le gouvernement chilien a entamé des négociations pour la restitutions des terres. Mais de gros enjeux financiers semblent ralentir cette démarche...
Suite du programme côté Bequet : nous sommes reçus non loin du village de Rio Chuelo, perdu dans une forêt d'eucalyptus par Mathilda et son fils Ricardo pour un petit dej maison avec pain maison cuit dans la cendre, confiture, higo (café à base de céréales) et fromage de vache local. La ferme qu'ils habitent est plus que sommaire. Les maigres revenus viennent du charbon. La fierté de Mathilda : son four à charbon en greda (sorte d'argile). 12 m3 = 50 sacs de 20kgs. La vie est rude mais malgré tout au détour d'un échange, elle est fière de dire : "on meurt là oú l'on nait". 
Un peu plus difficile à envisager pour les générations suivante en raison de l'emploi...
Nous les laissons avec une certaine émotion et reprenons la route. La famille Cartrilef : Christina, Sergio son époux, leur fille Krichina et Rachel la grand-mère nous attend pour le déjeuner et la nuit. Avant de les racontrer, nous faisons un halte dans un cimetière oú se trouve des sépultures huilliches (petite maison rappelant la vie sur terre). 
Chez les Cartrilef, Christina nous accueille en tenue d'apparat. Elle est la seule de la famille à perpétuer la tradition huilliche transmise par sa sa grand-mère. Avant de nous attabler pour le déjeuner, elle tient à nous amener dans son poulailler pour nous montrer des espèces de gallinacés mapuches qui pondent des œufs de couleur bleue : les Goyinca et les Quietro, c'est stroumphement bizarre ! 
Le repas est servi : atutos (algues marinées), Casuela (soupe de haricots et blé) et un charquican (ragoût de viande). Pas le temps de faire une sieste digestive que nous partons faire un trekking sur le chemin sacré qui menait de Rio Negro à la Bahía Mansa, haut lieu de culte huilliches. 35 kms soit 2 jours de marche. Rassurez-vous 3 heures nous suffirons pour nous faire une idée et nous transformer en aventuriers à la recherche du saint graal (étroitesse du sentier, on escalade, on rampent...).
Bilan de la balade : nous rentrons vers 20 h au gîte, trempés jusqu'au os sans déplorer de perte (pas mal !). Pour certains, ils se seront faits de nouvelles amies très particulières et un peu collantes : des sangsues.
Nos hôtes nous dépanneront de quelques vêtements secs car nous avions débarquez sans change. 
Comme il manquait des couchages pour dormir, Sergio avait tué son après-midi en fabriquant un lit superposé. Ikea n'a qu'à bien se tenir (+ ou - 5 heures) !
Christina nous servira un repas locavore tout en poursuivant la balade culinaire huilliche.
KO nous n'aurons pas besoin de berceuse.

Dimanche 24 novembre 2013
La fée du fourneau s'est penchée sur notre table de bon matin pour régaler nos papilles. C'est aussi le moment d'échanger sur le tourisme rural, leur projet et l'intérêt financier qui en découle. Nous sommes la deuxième famille + un couple à être venus par l'intermédiaire de l'agence. 
De plus, les Catrilef nous avouent ne pas avoir reçu la dernière rétribution. Grosse suprise pour nous car ce n'est pas comme ça que l'on voyait l'envers du décor. Ça tombe bien, Mauricio, notre guide, arrive sur ces entre-faits. Stéphane demande à payer directement la famille hôte pour être certain du reversement. Mauricio finit par détailler la prestation et là, surprise 30000 $ Ch (hébergement, 2 déjeuners, 1 diner, 1 petit dej soit 42€ pour toute la famille) sur les 240000 $ Ch que nous avons payé ! Nous payerons au final 40000$ ch sur l’enveloppe de l’agence. 
Il est l'heure de se quitter si nous voulons tenir le programme. Christina nous prépare des paparllenas (purée de pomme de terre, farce de veau...) pour le pique-nique. Nous avons un peu de mal à les quitter tant nous nous sentons bien avec eux mais il n'est de bonne compagnie qui ne se quitte..,
Nous repartons sur les pas des huilliches en version "randonneurs", direction la cordillera de la costa de Río Negro (lieu de culte, mine d'or...) pour une bonne partie de l'après midi. Clôture de l'immersion dans la culture Huilliche à travers les costumes traditionnels, la musique, les objets typiques.

CHILI - PUERTO VARAS - FRUTILLAR

Jeudi 21 novembre 2013
Nous pensions dédier une partie de la journée au rattrapage scolaire. Présenté ainsi, nous n'allions pas recueillir un franc succès. Bien que l'EPS ne soit pas mentionné dans les programmes du CNed et d'académie en ligne, Stéphane décide de faire une pause sport l'après-midi et ainsi aéré des cerveaux en ébullition. La formule proposée est plutôt innovante et inhabituelle. Elle prend en compte le cadre naturel qui nous est offert et n'oublie pas les attentes pédagogique et sportive qui en découle comme : l'écoute, la concentration, la coordination, l'esprit d'équipe...
Direction le Parc National Vicente Perez Rosales pour une descente en rafting sur la rivière Petrohue. Une heure à dévaler les rapides avec un niveau de difficulté 3 à 4 (les experts apprécieront..) dans un cadre de rêve entre 2 volcans (l'Osorno et le Calbuco). Sensations fortes garanties et poussée d'adrénaline assurée. Après-midi sensationnelle pour les enfants qui pratiquaient pour la première fois. Et les grands sur le...
Quel grand moment familial au cœur de la région des lacs au Chili.

Vendredi 22 novembre 2013
Et si nous allions baguenauder à Frutillar ! 
Petit village bucolique au bord du lac Llanquihue avec une forte influence germanique, ses rues propres et ordonnées, ses maisons en bois hérités des colons allemands qui arrivèrent au XIXème siècle. Des odeurs de strudels et kuchens (tartes sucrées) planent dans l'air. Pour les Béquet, ce sera petit encas au bord du lac (face aux volcans Orsono, Puntiagudo) non loin du théâtre. Beaucoup d'encre a coulé à son sujet lors de sa construction en 2010 en raison de son coût (25 millions de dollars) et sa localisation. Mais son festival classique d'été réconcilie tout le Monde. Si ça pouvait avoir également de l'effet sur Agathe et Alex ...
Nous ne partirons pas de Frutillar sans faire un détour au Musée Colonial Allemand. Une façon de découvrir en version accéléré les 150 ans d’histoire du bourg.

ARGENTINE - BARILOCHE

Vendredi 15 novembre 2013
Arrivée à Bariloche sous le soleil que la ville vient de retrouver après des semaines de pluie. Pour les wikipedistes, San Carlos de Bariloche est la capitale d'une des plus belles régions (Rio Negro) de l'Argentine au pied de la cordillère des Andes, sur la côte sud du lac Nahuel Huapi et dans le parc du même nom.
Sa physionomie est celle d'une ville de montagne, avec une architecture en bois et en pierre qui n'est pas sans nous rappeler un p’tit air des villes alpines.
Pour les Bequet : Après deux heures de prospection car pas de réservation en poche, nous posons nos sacs à l’auberge el Gaucho. Il y plane une ambiance très baba cool…
En échangeant avec le propriétaire Tito, nous découvrons qu’il entraîne l’équipe de rugby de son fils qui a le même âge qu’Alex. La cerise sur le gâteau sera d’apprendre qu’il y a un tournoi de rugby des moins de 9 ans le lendemain à Bariloche avec les équipes des villes autour (300kms).
Tito propose spontanément à Alex d’intégrer l’équipe ! Géniaaaaaaaalissime !

Samedi 16 novembre 2013
Il n’a pas été très difficile pour Alex de se lever ce matin, ni même la veille de s’avancer sur les cours.
La motivation est plus que présente pour participer à ce tournoi :
Résultat : que du bonheur ! 3 matchs, 2 essais, Xy plaquages et avec un esprit d’équipe XXL, un grand moment rugbystique !
Pour les filles en revanche, la matinée fût studieuse.
En début d’après-midi, Agathe est invitée à participer à une féria qui se tient à l’auberge, Quèsaco ? C’est tout simplement un vide grenier qui se fait chez soi. Notre créatrice de bijou en herbe saute sur l’occasion pour tester l’attrait de ses bracelets en tenant un petit stand jusqu’à la tombée de la nuit assistée par Lucia 10 ans la fille de Tito. Recette du jour : 90$ Ar, c’est le début de la fortune !
Cette après-midi ensoleillée donne des ailes aux parents !
Ils s’éclipsent et partent faire l’ascension du Cerro Campanero (1050 m d’altitiude). Un magnifique point de vue les attend pour admirer la péninsule de Bariloche.
Cette journée sera clôturée par un repas très familial et convivial pour le plus grand plaisir des petits et des grands : pizzas maison de Tito et crêpes du côté des Bequet arrosées abondamment de confiture de lait, s’il vous plait ! 
Ne jamais contrarier l'hôte des lieux !

Dimanche 17 novembre 2013
Réveillés, déjeuner pris, voiture de location récupérée, parez pour une escapade dominicale !
Direction la péninsule à Llao Llao. Paradis pour les sportifs en tout genre : farniente, randonnée, ski l’hiver, escalade, pêche…
Pour les Bequet, ce sera rando avec une balade de 9 kms à la clé à travers la forêt et ses sentiers.
Nous terminerons cette escapade par la visite de la Feria de Colonia Suza où il y règne une ambiance très suiiiiiisse autour d’un marché artisanal : gaufres, Krukchen, châlets, chocolat… A 10 mn des pistes l’hiver et les pieds dans l’eau l’été, Stéphane semble être sous le charme. Aurait-il trouvé son p’tit coin de paradis ?

Lundi 18 novembre 2013
Debout là dedans ! Après s’être difficilement extirpé du lit et ficeler le paquetage, nous partons sur la route des 7 lacs (10 en vérité) dans le parc national Nahuel Huapi. Le premier arrêt se fera sur le port de la Villa de Angostura. Il s’en dégage un calme, une certaine sérénité ; pile poil ce qu’il nous fallait pour apaiser les tensions du matin. Nous reprenons la routedirection San Martin de Los Andes posé sur le lago Lacar. Sur place, nous retrouvons à nouveau un copié/collé de l’astmosphère alpin : version Courchevel. On ne sait pas où nous allons dormir puisque il s’avère que les prix proposés ne semblent pas correspondre à notre budget journalier pour l’hébergementLe top est donné et nous avons une heure pour trouver la perle «rapport/qualité ».
Ça y est nous l’avons ! Alice est peu déçue car ce n’est pas encore ce soir que nous passerons la nuit dans la voiture

Mardi 19 novembre 2013

Deuxième partie de l’itinéraire pour boucler la route des lacs et rentrer sur Bariloche. San Martin se résumera seulement pour les Bequet à une ville étape permettant de rentrer dans le parc Lanin et une boulangerie « Boccuse d’or » où les parents se sont laissés envoutés par des douceurs et délices en tout genre made in France. Vivement conseillé à tout parent se retrouvant face à des contestataires de moins de 14 ans de bon matin. Que voulez-vous à chacun sa méthode !
Des paysages désertiques remplacent les grandes forets de la journée précédenteL’appel du ventre nous incite à faire une pause au bord du lac Traful. Notre arrêt est vivement plébiscité par des jeunes Israéliens se trouvant au bord de la route. Ils nous indiquent en contrebas une plage où ils se sont baignés. Le pique-nique se déroulera au bord de l’eau. Quel bonheur pour les enfants qui se transforment en Robinson Crusoé le temps d’une après-midi. Ils mettent des troncs d’arbres à l’eau et font du Kayak pendant 2 heures ; ça c’est une embarcation écolo rigolo !
De retour à Bariloche, ce sera une soirée d’adieu en compagnie de Tito et sa famille. Nous fêterons également la belle contravention obtenue en top chrono « 5 mn » par Stéphane pour un stationnement interdit. Le « No comprendoet no he visto» n’y suffiront pas !
Demain avant de passer par la départ, un p’tit détour à la police municipale s’il vous plait ! Sous vos applaudissements !

Mercredi 20 novembre 2013
“Don’t cry for me Argentina ! “
Et oui ! Cela faisait presque deux mois que nous étions en Argentine. Que de richesse amassée !
Pour les enfants, la barrière de la langue ne leur pose plus de tracas. Ils sont très à l'aise pour aller vers les autres !
Nous prenons également conscience de ce changement personnel qui s’opére au fil de notre aventure !
Terminial de bus de Bariloche : Nous honorons notre « prune » de la veille et retrouvons sur place une famille qu’Agathe et Alex avaient croisés à Puerto Piramides et avec qui nous avions fait un échange mail.
Il s’agit des BARBIER : Stéphanie, François et leurs enfants Camille (13 ans) et Eglantine (10 ans). Le voyage en bus de Bariloche à Puerto Varas (Chili) sera l’occasion de faire plus ample connaissance mais aussi pour les enfants une nouvelle fois de pouvoir échanger sur leurs voyages. Ça tombe bien, le trajet sera de six heures !
Nous arrivons à destination et saluons les Barbier qui poursuivent pour se rendre à Puerto Montt.
Les Bequet, quant à eux, rejoignent le centre de Puerto Varas. On s’adonne à notre jeu favori : « Mais où va-t-on dormir ce soir ? ».
Après avoir laissé les enfants en autosurveillance au bord du lac Llanquihue, visité presqu’une dizaine d’hébergement, en passant par la case PDI : traduction Police Départementale d’Investigation (petite confusion de la part de Stéphane qui pensait que l’adresse était une bed&breakfast !). Nous arrivons enfin à nous poser en plein centre du bourg dans un hôtel où nous devrons travailler notre humour (y a du boulot ! ) pour parvenir à faire rire l’hôtesse des lieux !
Pour cela rien ne vaut une fois n’est pas coutume d’aller recharger les batteries au restaurant.