Le 17 août 2013 :
Arrivée à l’aéroport de Lima à
5h35 après 12 heures de vol. Nous vous confirmons que Lima est bien dans la
brume (ou garùa). L’envie de rester dans la capitale
nous tente moyennement.
Alors que nous prospectons pour
trouver un taxi qui nous mènera à la station Cruz del Sur, nous faisons connaissance
avec deux jeunes françaises (Laura et Edounia). Nous partagerons le voyage
jusqu’à Paracas et les deux jours qui suivront sur place.
Arrivée à la station de bus, un
bus part pour Paracas dans 20 mn. Juste le temps de changer nos billets (initialement
prévu à 13h30). Nous voilà à bord du bus pour 3h 30 de trajet dans des
conditions dignes d’une compagnie aérienne. Apprécions car ce confort ne va peut
être pas durer.
Paracas, nous logerons à la pension Backparkers ’
hostal à l’entrée de la
ville. La première prise de contact se fait avec les enfants
sur la plage. Une
jeune fille se prénommant Kyoto (15 ans) leur propose de jouer au volley. C’est
fabuleux de voir la facilité déconcertante que les enfants ont pour rentrer en
relation.
Les enfants péruviens sont en
vacances d’hiver et ont une rallonge en raison d’une épidémie de la grippe
porcine. Reprise de l’école en septembre.
Deuxième contact, trois touristes
suisses, grâce à qui : Pollo !
Justement Stéphane réfléchissait pour s’en débarrasser car nous avons constaté que le poids acceptable pour embarquer dans un avion n’est pas de même pour notre dos ! (sac à dos entre 17 et 20 kg, sans oublier de troller de 20 kg chacun), à revoir !
Justement Stéphane réfléchissait pour s’en débarrasser car nous avons constaté que le poids acceptable pour embarquer dans un avion n’est pas de même pour notre dos ! (sac à dos entre 17 et 20 kg, sans oublier de troller de 20 kg chacun), à revoir !
Premier contact culinaire sur
conseil d’Anne, Anne-Lydie et Alain (Suisse) : une cantine qui ne paye pas
de mine et pour 8 NS/menu, on nous sert une soupe au poulet et une assiette
contenant du poulet avec une sauce à base de tomate et épices, d’une purée de
petits pois et du riz (repas pour la famille 10€…). Nous n’allons pas en rester
là sur la cuisine péruvienne. C’est tout de même paraît-il la meilleure d’Amérique
Latine, à suivre…
Le 18 août 2013 :
Après une très bonne nuit malgré la musique latino (fête du village avec une impression d’être à un cours de zumba) qui nous a accompagné jusqu’à 5 h du matin, nous nous réveillons de bonne heure et de bonne humeur pour l’ensemble de la troupe direction les îles Ballestas (2h de balade).
Tous les 5/10 ans, le guano est ramassé pour être exporté comme engrais. Le retour se fait, escorté par un balai de cormorans qui nous suivent et nous croisent à quelques centimètres malgré la vitesse du bateau, splendide !
Après une très bonne nuit malgré la musique latino (fête du village avec une impression d’être à un cours de zumba) qui nous a accompagné jusqu’à 5 h du matin, nous nous réveillons de bonne heure et de bonne humeur pour l’ensemble de la troupe direction les îles Ballestas (2h de balade).
En partant du port, un dauphin précède le bateau. Il ne pleut jamais dans la péninsule de Paracas. La côte est tannée, sans végétation. Sur le parcours, nous nous arrêtons devant la ligne représentant un chandelier. Haut de 170 m et large de 54 m, trace de la civilisation Paracas (800 avt et 100 après JC).
Personne ne connaît l’origine. Cette ligne est bien conservée. La civilisation Paracas s’était spécialisée dans le textile (civilisation pré-inca), les Nazca dans la céramique. Paracas signifie en langage queshua : l’œil de sable.
Nous voici face aux îles, une colonie de fous variés, des manchots Humboldt, nous accueillent, des lions de mer, des cormorans, sont également au rendez-vous, sans oublier bien d’autres espèces d’oiseaux non reconnus.
Accès des îles interdites, juste le tour en bateau est possible. La faune est ainsi préservée.
Tous les 5/10 ans, le guano est ramassé pour être exporté comme engrais. Le retour se fait, escorté par un balai de cormorans qui nous suivent et nous croisent à quelques centimètres malgré la vitesse du bateau, splendide !
Pique nique dominical sur la plage. Nous ressemblons à des touristes anglais car légèrement vêtus en cette fin d’hiver au Pérou.
Départ en bus de Paracas pour Huacachina (2 jours) via Ica (on est rentré à 5 avec tous nos bagages dans 1 hyundai Matiz…).
Huacachina est une oasis entourée de dunes à perte de vue. Nous sommes accueillis par Elisabeth (originaire des Cornouailles en Angleterre) àla casa Bambou.
Huacachina est une oasis entourée de dunes à perte de vue. Nous sommes accueillis par Elisabeth (originaire des Cornouailles en Angleterre) à
Au programme : Buggy (impression de jouer dans un remake de Mad Max) et sandboard dans les dunes, GEANT pour les grands comme pour les petits, les photos en témoignent…
Les 21/22 août 2013
Nous décidons de rallier Nazca en testant une nouvelle compagnie péruvienne de bus « discount » : SOYUZ (aucun touriste dans le bus, bizarre!!). Nous empruntons la panaméricaine. Impression d’être au milieu de nulle part quand nous ne traversons pas des villages comme Guadalupe.
Hébergement pour une nuit chez Sonia et Jésus au Brabant Hostal. Nazca, petite ville à taille humaine, agréable. Nous poursuivons notre apprentissage culinaire : arroz chaure s/n Hyancaina, sopa de res (soupe), cebada (boisson à base d’orge)…
Pour approfondir notre culture sur les Nazca, direction le musée ANTONINI (pour les enfants, 2 visites en 3 jours, c’est abusé pour reprendre leurs expressions).
Le musée expose une collection de pièces archéologiques des différentes étapes de la culture Nazca , de la céramique, d’instruments musicaux tels que des antaras (Sortes de flûtes de pan, avec seulement une file de 5 notes), des textiles, des linceuls funéraires, etc. Ces découvertes sont le résultat de fouilles dans le centre cérémoniel de terre le plus grand du monde : “Cahuachi”. On peut également y découvrir une partie de l’aqueduc de Visambra, démontrant le magnifique travail d’ingénierie hydraulique des Nascas.
slat! disparition des becquet entre le 19/08 et le 24? seriez vous sur une planète non wifiisée, non satellité, non électrifiée? rntre pollo et l'ordi vous avez chois l'ordi (ouu le tel?) t'as raison stéphane pollo t'aurais manqué gros bisoux nat et lux
RépondreSupprimerBonjour,
RépondreSupprimermerci pour ce compte-rendu de votre périple ! Bonne continuation et bonne aventure !
Les Gounon
Tout le monde s'en foot ... mais stéphane a besoin de rester informé sur les valeurs essentielles de la vie :
RépondreSupprimer> Foot - Marseille est premier de Ligue1 avec 9 points en 3 journée
> Rugby - Toulouse a écrasé bayonne 40 à 3
> Tennis - Nadal a bien démarré son US Open face à l'amricain Ryan Harrison (6-4, 6-2, 6-2)
> Politique - ne t'inquites pas la retraite du public ne sera pas alignée sur le privé (tu peux revenir maintenant)
> Balma - Al le baron attend avec impatience son coeur de ville pour lancer sa campagne - en attendant on colle les briquettes et on construit, on construit ... partout
Bonne route et pour la machu picchu on attend plus de photos ....
Bises
Daniel & sylvie
Quel style Corinne sur ton surf des sables !
RépondreSupprimerNous, on est rentrés de notre petit périple en italie (4 semaines c'est long pour des vacances mais petit par rapport à vous) enchantés.
et surtout gardez pollo, sinon je lance une pétition pour sa conservation !
Bises
Carine C
Salut Bequet! Je vois que tu t'amuses bien et que te cultives! C'est bien...
RépondreSupprimerA bientôt!
Aline
"Tu" te cultives! Il manquait un mot! lol!
RépondreSupprimercoucou les amis MERCI de nous faire voyager, bonne continuation . pleins de bisous les AFFONCO
RépondreSupprimerSalut à vous tous. C'est vraiment intéressant de suivre votre périple, d'autant plus que le Pérou et Machu Pichu font partis de mes projets. On continue à vous suivre, bande de chanceux. Ciao.
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